M1 Droit de la propriété intellectuelle et du numérique - Site Guyancourt - Mobilité Canada - Québec
La première année a pour objectif de fournir aux étudiantes et étudiants un socle théorique robuste ainsi qu’une méthodologie juridique critique, en lien avec l’un des trois domaines de spécialisation proposés (droit international, droit et société, ou droit du travail). Elle comprend également un module de formation complémentaire en propriété intellectuelle et droit du numérique (PIDN), destiné à assurer l’acquisition des connaissances transversales nécessaires à l’appréhension des enjeux juridiques liés aux actifs immatériels et aux technologies émergentes. Deuxième année La deuxième année vise l’approfondissement des connaissances, tant sur le plan théorique que pratique, en propriété intellectuelle, droit du numérique et régulation juridique de l’intelligence artificielle. Elle s’inscrit dans le parcours « Propriété intellectuelle et droit des affaires numériques » (PIDAN) offert à l’UQAM, et a pour finalité de consolider les compétences d’analyse, de recherche et d’intervention des étudiantes et étudiants dans un environnement juridique international marqué par l’innovation technologique.
La formation permet aux étudiantes et étudiants d’acquérir une compréhension approfondie et comparée de plusieurs systèmes juridiques, au premier rang desquels les systèmes européen et canadien, avec une ouverture au système américain. Grâce à une année complète de mobilité internationale, elle forme des juristes d’envergure globale, aptes à évoluer dans des contextes juridiques transnationaux et à appréhender la diversité des approches normatives relatives au numérique et à l’intelligence artificielle.
Cette formation encourage par ailleurs l’exercice d’une créativité juridique fondée sur les outils du droit commun, afin de développer des solutions innovantes face aux défis posés par l’évolution rapide des technologies et des usages numériques. Elle articule un socle théorique solide avec une approche résolument pragmatique, appuyée sur des dispositifs pédagogiques professionnalisants : simulations de négociation, délibérations fictives, concours de plaidoirie, jeux d’écriture juridique, études de cas ou encore rédaction de billets spécialisés.
Enfin, le cursus comprend un stage ainsi que la rédaction d’un mémoire de recherche – et non d’un simple rapport de stage – permettant d’initier les étudiants à la rigueur méthodologique attendue dans le milieu juridique et de témoigner, auprès des futurs employeurs, de leurs capacités d’analyse, de recherche et de rédaction approfondie.
Le double diplôme international « Droit de l’intelligence artificielle et de la propriété intellectuelle » (IAPI) offre une formation critique et comparative en propriété intellectuelle, droit du numérique et régulation des technologies émergentes. La première année, à l’Université Paris-Saclay, permet d’acquérir des fondements théoriques solides et une méthodologie d’analyse juridique approfondie, complétés par une formation en propriété intellectuelle et droit du numérique (PIDN). La deuxième année, suivie à l’UQAM (Canada) dans le parcours PIDAN, offre un approfondissement avancé, à la fois théorique et pratique, en propriété intellectuelle, droit des affaires numériques et intelligence artificielle. Au terme du programme, les étudiantes et étudiants obtiennent à la fois : le Grade de maître en droit (LL.M.) délivré par l’UQAM, et le Master 2 de l’Université Paris-Saclay.
Le programme s’adresse aux titulaires d’un diplôme de premier cycle en droit (baccalauréat canadien, licence en droit obtenue dans une université française ou diplôme équivalent), justifiant d’une moyenne cumulative minimale de 3,2/4,3. Il requiert une maîtrise suffisante du français, à l’oral comme à l’écrit, ainsi qu’une bonne connaissance de l’anglais. Les candidatures présentant une moyenne inférieure à 3,2/4,3 mais supérieure à 2,8/4,3 peuvent néanmoins être examinées et retenues si d’autres éléments du dossier le justifient, notamment l’intérêt démontré pour la formation ou la qualité du parcours universitaire.
Au terme des deux années d’enseignement, la formation se conclut par un stage de fin d’études d’une durée minimale de deux mois. Celui-ci peut être réalisé partout dans le monde, grâce notamment aux dispositifs de mobilité et aux bourses prévues à cet effet. Le stage peut être effectué au sein de l’une des nombreuses branches professionnelles auxquelles la formation ouvre l’accès, offrant ainsi une première immersion concrète dans les milieux juridiques liés au numérique, à la propriété intellectuelle et à l’intelligence artificielle.
NR
Trimestre 1 (Automne) / Semestre 1 M1
- Un séminaire de méthodologie (4 crédits) (liste A)
- Un séminaire au choix (4 crédits) parmi :
- Séminaires de théorie/fondement (liste B)
- Autres séminaires offerts par le programme au trimestre d’inscription (liste C)
- 1ère session de mise à niveau en droit de la propriété intellectuelle et du numérique (1 crédit.)
Trimestre 2 (Hiver) / Semestre 2 M1
- Deux séminaires (8 crédits) au choix parmi :
- 2e séminaire de méthodologie de la liste A
- Séminaires de théorie/fondement (liste B)
- Autres séminaires offerts par le programme au trimestre d’inscription (liste C)
- 2e session de mise à niveau en en droit de la propriété intellectuelle et du numérique (1 crédit)
Les inscriptions se font à partir de la plateforme INCEPTION sur la même période nationale que les candidatures en M1, les deux procédures sont cumulatives.
Une période complémentaire est ouverture uniquement aux étudiants québécois comprise entre le 02/06/2023 au 02/07/2023.
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Lettre de motivation.
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Tous les relevés de notes des années/semestres validés depuis le BAC à la date de la candidature.
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Curriculum Vitae.
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Attestation de français (obligatoire pour les non francophones).
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Dossier VAPP (obligatoire pour toutes les personnes demandant une validation des acquis pour accéder à la formation) https://www.universite-paris-saclay.fr/formation/formation-continue/validation-des-acquis-de-lexperience.
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Document justificatif des candidats exilés ayant un statut de réfugié, protection subsidiaire ou protection temporaire en France ou à l’étranger (facultatif mais recommandé, un seul document à fournir) :
- Carte de séjour mention réfugié du pays du premier asile
- OU récépissé mention réfugié du pays du premier asile
- OU document du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés reconnaissant le statut de réfugié
- OU récépissé mention réfugié délivré en France
- OU carte de séjour avec mention réfugié délivré en France
- OU document faisant état du statut de bénéficiaire de la protection subsidiaire en France ou à l’étranger.