M2 Microbiologie fondamentale

Le programme est international et met l'accent sur la recherche afin de préparer les étudiants aux défis modernes de la microbiologie. Il couvre une variété de modèles (bactéries, archées, micro-organismes eucaryotes, virus) et plusieurs échelles d'analyse, des molécules aux génomes, cellules et communautés. 

Au cours du premier semestre, les étudiants acquièrent des connaissances en génomique et en ingénierie du vivant grâce au programme de base « Explorer et innover », complété par des cours pratiques et des unités d'enseignement optionnelles dans les domaines de la microbiologie moléculaire et cellulaire, de la virologie eucaryote et procaryote, des interactions microbiennes et de la pensée critique utilisant l'intelligence artificielle, entre autres. 

Pendant le second semestre l'étudiant(e) réalise un stage de M2 en laboratoire qui correspond à une formation qualifiante à travers une activité de recherche de 6 mois dans un domaine ayant trait à la Microbiologie. Il permet de former l'étudiant(e) aux techniques expérimentales mais aussi à la rédaction de projet(s) et à la communication scientifique orale. Le stage peut se dérouler au sein des laboratoires de Paris-Saclay [Institut de Biologie Integrative de la Cellule (I2BC), MICrobiologie de l'ALImentation au Service de la Santé Humaine (MICALIS), L'Institut Diversité, Écologie et Évolution du Vivant (IDEEV), Laboratoire de Biologie et de Pharmacologie Appliqué (LBPA, ENS Paris-Saclay)], des grands instituts de recherche de Paris centre (Institut Pasteur, Institut Jacques Monod), en région ou à l'étranger.   

Le taux de réussite des étudiants inscrits au M2 Fundamental Microbiology est de 94 % (2015-2025). Le taux de poursuite en thèse des étudiants diplômés s’élève en moyenne à 61 % (2015-2025). Ces thèses sont réalisées à 55 % dans un laboratoire de l’Université Paris-Saclay (UPSaclay), 33 % dans un laboratoire français non UPSaclay et 12 % à l’étranger. Environ 13 % des diplômés s’insèrent dans le monde socio-économique à Bac+5 (emploi d’ingénieur d’études ou d’enseignants agrégés ou de chargé de communication au sein d'un institut de Recherche) et environ 20 % poursuivent leurs études (cursus ENS, filière médicale, attaché.e de recherche clinique, etc.).