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Les collègues nouvellement arrivés dans nos laboratoires se présentent - Graduate School Mathématiques

Benoît Gaudeul

Ma recherche s'inscrit dans le large champ de l'analyse numérique des EDP. Plus concrètement j'ai plaisir à trouver de bonnes manière de simuler des phénomènes physiques ou biologiques dans lesquels l'aléatoire est négligé. J'ai ainsi travaillé sur des phénomènes de diffusion croisée (solutions fortement concentrées, fabrication de panneaux solaires, etc.) pendant ma thèse, de 2018 à 2021, au laboratoire Paul Painlevé de Lille. Par la suite je me suis aussi intéressé à des problèmes écologiques (c'est à dire d'évolution de populations en temps long devant la durée de vie des individus qui la composent) au cours d'un post-doctorat à l'Institut Camille Jordan à Lyon. Une fois trouvée une manière de simuler le phénomène étudié, je m'attache a préserver autant de propriétés physiques que possible, quitte à changer ma façon d'aborder le problème.

Depuis septembre 2022 j'ai l'honneur d'être maitre de conférences au Laboratoire de Mathématique d'Orsay de l'Université Paris-Saclay.

Antoine Levitt

Mon domaine de recherche est l'analyse et la conception de schémas numériques pour les équations de la mécanique quantique, avec applications en sciences des matériaux et en chimie quantique.

J'ai effectué ma thèse à l'Université Paris-Dauphine, deux postdocs au CEA/DAM et à Sorbonne Université, puis j'ai rejoint l'Inria Paris comme chargé de recherche en 2015, dans l'équipe MATHERIALS hébergée à l'École des Ponts.

Je commence en novembre 2022 un poste de "chaire professeur junior" au LMO.

 

 

Susanna Zimmermann

Mon domaine de recherche porte sur la géométrie algébrique, et plus précisément sur les groupes des transformations birationnelles, qui sont des isomorphismes entre des ouverts denses des variétés algébriques. C'est l'un des domaines où la géométrie algébrique, les systèmes dynamiques, la géométrie algébrique réelle, la géométrie arithmétiques et la théorie géométrique des groupes se rencontrent. J'ai soutenu ma thèse à l'université de Bâle en 2016 puis j'ai fait un postdoc d'un an à l'université de Toulouse, financé par le Fonds National Suisse. 

Avant de devenir professeure au LMO en 2022, j'ai été Maître de Conférence à l'Université d'Angers de 2017 à 2022.

Dang Nguyen Bac

Je suis actuellement maître de conférences dans l'équipe d'Arithmétique et de Géométrie Algébrique. Auparavant j'ai fait ma thèse avec Charles Favre et j'ai effectué un post-doctorat à Stony Brook avec Eric Bedford et Mikhail Lyubich.
 
Dans ma recherche, j'étudie les applications rationnelles définies sur des espaces projectifs de dimension 2 ou plus et leur comportement sous itérations. Pour l'instant, j'ai travaillé en dynamique algébrique, un thème dans lequel on s'intéresse à des problèmes de nature algébriques qui interviennent dans certains systèmes dynamiques holomorphes, et je m'intéresse aux applications possibles des idées et techniques de dynamique holomorphes dans d'autres sujets. 

Omar Mohsen

Je travaille en géométrie non commutative. Mon travail est basé sur la construction d'algèbres d'opérateurs associé à des situations de géométrie différentielle. Dont le but principal est d'étudier des opérateurs différentiels dans des situations singulières comme les espaces quotients associés aux actions de groups ou des feuilletages.

J'ai soutenu ma thèse en 2018 sous la direction de G. Skandalis. Après mon doctorat, j'ai effectué un post-doctorat de deux ans à Muenster.

Depuis 2021, je suis MCF à l'université Paris-Saclay.

Jiao He

Mon domaine de recherche est l'analyse des équations aux dérivées partielles, en particulier l'étude des propriétés des solutions des équations qui viennent de la mécanique des fluides.  Plus précisément, je m'intéresse à l'étude du changement du fluide sous l'influence d'autres facteurs, par exemple, un petit obstacle en mouvement dans un fluide ou une structure flottant.

J'ai effectué ma thèse intitulée “Comportement d’un fluide autour d’un petit obstacle, problèmes de convections et dynamique chaotique des films liquides” à l’Université Claude Bernard Lyon 1 sous la direction de Lorenzo Brandolese et Dragos Iftimie. Après la thèse, j’ai fait un post-doctorat à l'Université d’Évry avec la bourse du Programme Sophie Germain de la Fondation Mathématique Jacques Hadamard de 2019 à 2021. Ensuite, j'étais post-doctorat au Mathematical Sciences Research Institute (MSRI) à  l'Université de Berkeley de janvier 2021 à mai 2021. 

Depuis septembre 2021, je suis maître de conférences au Laboratoire de Mathématiques d’Orsay.

Thomas Gauthier

Mon travail de recherche porte sur l’étude de systèmes dynamiques holomorphes et arithmétiques. Plus précisément, j’étudie les interactions entre ces deux champs de recherche, grâce à des outils de théorie du pluripotentiel complexe, de géométrie complexe de géométrie arithmétique, de combinatoire et de théorie de la mesure.

Après avoir soutenu ma thèse à l’Université Toulouse 3 Paul Sabatier sous la direction de François Berteloot, j’ai été ATER à l’Université Toulouse 2 le Mirail. J’ai ensuite été maître de conférence à l’Université de Picardie Jules Verne à Amiens de 2012 à 2018, période au cours de laquelle j’ai été chercheur invité pendant un semestre à l’Institute of Mathematical Studies de Stony Brook. J’ai ensuite été Professeur Monge à l’Ecole Polytechnique de 2018 à 2021.

Depuis 2021, j’ai la chance d’être professeur au Laboratoire de Mathématiques d’Orsay, au sein de l’Université Paris-Saclay.

Thomas Letendre

Mon travail de recherche mélange géométrie différentielle et probabilités. J'étudie la géométrie et la topologie d'hypersurfaces aléatoires obtenues comme lieux d'annulation de processus gaussiens sur une variété riemannienne ambiante. Ces problèmes font intervenir des idées issues de divers domaines des mathématiques, tels que la géométrie complexe, l'analyse semi-classique ou la théorie des processus ponctuels.

J'ai préparé ma thèse à l'Université Claude Bernard Lyon 1 sous la direction de Damien Gayet. Après l'avoir soutenue en 2016, j'ai été agrégé-préparateur à l'ENS de Lyon jusqu'en 2018. De 2018 à 2020, j'étais postdoctorant à Sorbonne Université, où je travaillais avec Henrik Ueberschär au sein de l'ANR SpinQS.

Enfin, j'ai été postdoctorant Hadamard au Laboratoire de Mathématiques d'Orsay pendant un an, avant d'y être recruté comme maitre de conférences en septembre 2021.

Evgenni Chzhen

J'ai occupé le poste de postdoc de la FMJH d'octobre 2019 à septembre 2021 au LMO. Malgré la pandémie, j'ai pu développer mon propre agenda de recherche, ce qui a été rendu possible grâce au soutien de la FMJH et à l'incroyable environnement scientifique maintenu dans l'écosystème UPSaclay. Au cours de mes études doctorales à l'Université de Marne-la-Vallée, j'ai principalement traité des problèmes statistiques de classification sous des contraintes dépendantes de la distribution, qui apparaissent souvent dans les applications modernes.

Plus tard, principalement pendant mon postdoc au LMO de l'Université Paris-Saclay, je me suis orienté vers l'étude statistique des propriétés d'équité des algorithmes d'apprentissage.

Actuellement, je suis titulaire d'un poste de CR CNRS au LMO et je continue à contribuer aux études statistiques des questions éthiques soulevées par l'apprentissage automatique.

Guillermo Durand

Je suis statisticien. Mon domaine de recherche se concentre pour l'instant sur la théorie des tests multiples. En particulier, je m'intéresse à la construction de bornes de confiance pour les faux positifs avec un contrôle uniforme de l'erreur. J'ai aussi travaillé sur la pondération optimale de p-valeurs et sur des procédures de tests multiples à support discret.

J'ai effectué ma thèse de 2015 à 2018 au LPMA devenu LPSM, localisé à Sorbonne Université, sous la direction d'Etienne Roquain et de Pierre Neuvial. Après cela j'ai travaillé 2 ans et demi dans le secteur privé avant de lui tourner le dos et de candidater aux concours de maîtres de conférences.

Je suis en poste au LMO depuis septembre 2021, et j'enseigne à l'Université Paris-Saclay.

Bruno Duchesne

La théorie géométrique des groupes est mon domaine de recherche. Il s’agit de révéler certaines relations entre l’algèbre et la géométrie. Un aspect particulier de ce domaine, et qui en fait son intérêt, est l’utilisation d’objets venant de bien d’autres domaines des mathématiques. Ainsi analyse fonctionnelle, théorie des probabilités, géométrie algébrique apparaissent au gré des démonstrations.

Soutenue en 2011, ma thèse a été écrite entre Genève et Lyon. Grâce à une bourse du Fonds National Suisse, j’ai pu passer une année de postdoctorat à Jérusalem. Puis, j’ai été maître de conférences à l’Institut Élie Cartan à Nancy.

Depuis 2021, j’ai la chance d’être professeur au laboratoire mathématique d’Orsay et d’enseigner à l’IUT d’Orsay.

Maud Delattre

Je m’intéresse à l’estimation paramétrique dans des modèles à dynamique markovienne et à variables latentes (modèles à effets mixtes, modèles de diffusion,…). J’étudie le comportement théorique d’estimateurs et je développe des algorithmes (EM, EM stochastique,…) pour leur évaluation numérique.

Je travaille également sur des questions de sélection de variables dans ces modèles. L‘essentiel de mes recherches est motivé par des applications en pharmacologie, en épidémiologie ou encore en biologie végétale. J’ai développé l'essentiel de mes recherches au sein de l’UMR AgroParisTech/INRAE "Mathématiques et Informatique Appliquées" où j'ai été maître de conférences de 2012 à 2020.

Je suis maintenant chargée de recherche dans l’unité Mathématiques et Informatique Appliquées du Génome à l’Environnement (MaIAGE) d’INRAE à Jouy-en-Josas.

Ester Mariucci

Mes intérêts de recherche se situent à la frontière de la statistique mathématique et des probabilités appliquées, avec un accent particulier sur la statistique non paramétrique (fréquentiste et bayesienne) des processus stochastiques, notamment des processus à sauts.

Je m’intéresse également à la comparaison de modèles statistiques au sens de Le Cam et j’aime travailler sur les distances entre les observations continues ou discrètes des processus stochastiques.
Après avoir soutenu une thèse à Grenoble en 2015 sous la direction de Sana Louhichi et Pierre Étoré sur les équivalences asymptotiques entre des modèles non paramétriques, j’ai intégré le groupe de recherche d'Aad van der Vaart à Leiden, où j'ai commencé à travailler sur les statistiques non paramétriques bayésiennes. J'ai ensuite rejoint le groupe de recherche de Markus Reiß à Berlin où je me suis focalisée sur la statistique (fréquentiste minimax) des processus à sauts, sujet que j’ai continué à traiter pendant mon séjour à Magdebourg.

En 2018-2019 j’ai été professeur invité à l’Université de Potsdam et depuis 2020 je suis professeur dans le laboratoire des mathématiques de l’Université de Versailles St-Quentin-en-Yvelines.

Muriel Boulakia

Mes thèmes de recherche se situent dans le domaine des équations aux dérivées partielles. Mes travaux portent sur l’analyse mathématique des problèmes d’interaction fluide-structure ainsi que l’analyse et les méthodes numériques pour les problèmes inverses. Ils se situent pour la plupart dans le champ des applications biomédicales, en particulier l'électrophysiologie cardiaque et l’hémodynamique. 

Après un doctorat à l’UVSQ sous la direction de Jean-Pierre Puel puis un post-doctorat à l’Inria Paris dans le projet REO avec Jean-Frédéric Gerbeau, j’ai été recrutée comme maître de conférences au LJLL à Sorbonne Université en 2006.

Depuis 2021, je suis professeure au LMV de l’Université de Versailles St-Quentin.

Claude Viterbo

Mes centres d'intérêt sont la topologie symplectique dans un sens très large, allant des aspects ``structurels" comme l'étude de l'homologie de Floer et des catégories de Fukaya, jusqu'aux  applications, qui vont de la dynamique Hamiltonienne et les  équations de Hamilton-Jacobi,  la géométrie algébrique réelle,  les fonctions de plusieurs variables complexes ou  la  théorie microlocale des faisceaux. C'est un domaine que je trouve fascinant par le nombre et la profondeur de ces interactions.

J'ai été chargé de Recherche au Ceremade (Paris-Dauphine) de 1985 à 1991, professeur au Département de Mathématiques d'Orsay de 1991 à 2001, Professeur d'exercice complet à l'Ecole polytechnique de 2001 à 2011, et à l'Ecole normale supérieure (rue d'Ulm) de 2011 à 2021.

Je suis donc maintenant de retour à Orsay et ravi de à la fois de retrouver d'anciens collègues et de découvrir de nombreux nouveaux collègues.

Jérôme Casse

Mon domaine de recherche se situe à la frontière entre les probabilités, les modèles discrets et la physique statistique. En particulier, je m'intéresse aux systèmes de particules quasi-réversibles, aux automates cellulaires probabilistes et aux mouvements browniens itérés ad libitum.

J'ai effectué ma thèse au LaBRI (Laboratoire Bordelais de Recherche en Informatique) de 2012 à 2015 sous la direction de Jean-François Marckert. Puis, pendant un an (2015 à 2016), j'ai été ATER à l'école des Mines de Nancy et dans l'équipe de probabilités et statistiques de l'IECL (Institut Élie Cartan de Lorraine). J'ai ensuite passé trois années (de 2016 à 2019) de post-doctorat dans le département de mathématiques de NYU Shanghai (New York University of Shanghai, branche chinoise de NYU) en Chine. Puis, j'ai fait deux années (de 2019 à 2021) de post-doctorat au sein de l'équipe de probabilités et statistiques du LMO (Laboratoire Mathématiques d'Orsay) grâce à l'ANR MAlIn (Marche Aléatoire en Interaction).

Depuis 2021, je suis maître de conférence dans cette même équipe et j'effectue mes enseignements à l'IUT de Sceaux.

Jean-Marie Mirebeau

Je m'intéresse à la conception de schémas numériques pour la résolution des équations aux dérivées partielles, souvent liées au contrôle optimal et au transport optimal, et à leurs applications. Ma spécialité est la résolution des équations fortement anisotropes, c'est à dire qui privilégient localement certaines directions d'espace, en abordant les difficultés numériques résultantes à l'aide d'outils de géométrie algorithmique. Ces travaux sont motivés par des applications au traitement mathématique d'images, à la tomographie sismique, et à la planification ou détection de trajectoires.

J'ai soutenu une thèse en 2010, sous la direction d'Albert Cohen à l'Université Pierre et Marie Curie, et portant sur la théorie de l'approximation sur des triangulations anisotropes. En 2011, j'ai intégré l'Université Paris-Dauphine en tant que chargé de recherches CNRS, et démarré une collaboration avec Laurent Cohen sur les méthodes mathématiques pour l'imagerie médicale.

Je rejoins le Laboratoire Mathématique d'Orsay en 2015, puis le centre Borelli à l'ENS Paris-Saclay en 2020 en tant que directeur de recherches.

Pierre-Guy Plamondon

Dans ma recherche, je travaille principalement sur des liens entre structures algébriques, combinatoire et géométrie.  Du point de vue algébrique, j'étudie surtout la théorie des représentations des algèbres associatives et les catégories abéliennes, exactes et triangulées.  Je m'intéresse aux applications de ces structures à la géométrie de polytopes comme les associaèdres, à la combinatoire des triangulations et dissections de surfaces, et à la théorie des algèbres amassées.

Après des études de mathématiques à Sherbrooke (Québec, Canada), j'ai soutenu une thèse à l'Université Paris-Diderot en 2011, puis j'ai effectué un postdoc d'un an au LMNO de l'Université de Caen. J'ai intégré en 2012 le LMO de l'Université Paris-Sud/Université Paris-Saclay en tant que maître de conférences.

Je suis maintenant professeur au LMV de l'Université de Versailles Saint-Quentin depuis septembre 2020.

Mathieu Mezache

Je m'intéresse à la modélisation mathématique de processus biologiques. J'étudie donc les équations de populations structurées dans un formalisme discret (système dynamique) et/ou continu (EDP). L'étude de ces modèles a pour motivation la compréhension de certains phénomènes biologiques et requiert une analyse fondamentale (étude du caractère bien posé, du comportement asymptotique) et plus appliquée (sensibilité des paramètres, calibration aux données expérimentales).

J'ai réalisé mon doctorat au sein de l'équipe Mamba de l'Inria Paris sous la direction de Marie Doumic et Human Rezaei. Après avoir soutenu ma thèse en 2019, j'ai fait un post-doctorat à Aix-Marseille Université sous la direction de Florence Hubert.

Je suis actuellement chargé de recherche à l'Inrae dans l'unité Maiage de Jouy en Josas.

Guillaume Kon-Kam-King

Je travaille à l’interface entre la statistique bayésienne non-paramétrique et la modélisation de données biologiques, notamment les données “omiques” et les données de bio-essais. Mes contributions scientifiques concernent les données censurées, la modélisation hiérarchique bayésienne, l’analyse de survie, l’estimation bayésienne non-paramétrique de densité, les processus bayésiens non paramétriques dépendents et l’inférence sur des processus de diffusion dans le cadre des modèles de Markov cachés.

J’ai étudié la physique à l’ENS Cachan et à l’Ecole Polytechnique Fédérale de Lausanne, où j’ai travaillé dans le laboratoire de Giuseppe Foffi en collaboration avec Davide Fiocco et Hans-Joerg Limbach, ainsi que dans le groupe de Félix Naef en collaboration avec Jonathan Bieler. En 2012, j’ai rejoint le groupe de Vittoria Colizza où j’ai collaboré avec Michele Tizzoni et Paolo Bajardi. J’ai ensuite rejoint le Laboratoire de Biométrie et de Biologie Evolutive à Lyon pour un doctorat sous la supervision de Sandrine Charles et Marie-Laure Delignette-Muller. En 2015, j’ai débuté un post-doctorat à Turin dans le groupe d’Igor Prünster et de Matteo Ruggiero.

Depuis 2020, je suis chargé de recherche dans l’unité Mathématiques et Informatique Appliquées du Génome à l’Environnement (MaIAGE) d’INRAE à Jouy-en-Josas.

Daniel Fiorilli

Mon sujet de recherche est la théorie analytique et probabiliste des nombres et ses interactions avec la théorie algébrique des nombres et la géométrie algébrique. Mes spécialités sont les statistiques sur les fonctions L en familles, les moments de suites arithmétiques et l’étude du biais de Chebyshev sur les corps de nombres et sur les corps de fonctions.

Voici un résumé de mon parcours : thèse à l'université de Montréal en 2011, membre à Institute for Advanced Study en 2011-2012, postdoc à University of Michigan en 2012-2014, postdoc FSMP à Paris 7 en 2014-2015, professeur adjoint (tenure-track) à l'université d'Ottawa en 2015-2018.

CR CNRS au LMO (Paris-Saclay) depuis 2018.

Yann Brenier joins LMO in Septembre 2021.

Laure Saint-Raymond joins Laboratoire Alexandre Grothendieck in September 2021.