M2 Droit de la concurrence et des contrats
- Former des juristes de haut niveau pouvant s'insérer aisément en entreprises, cabinets d'avocats ou institutions ou préparer une thèse de doctorat avant une carrière d'enseignant-chercheur
- Acquérir une spécialisation poussée en droit de la concurrence dans toute sa diversité et approfondir les connaissances indispensables en droit des contrats, que ce soit en droit commun ou dans les domaines orientés vers l'entreprise (distribution, contrats d'affaires)
- Acquérir des connaissances solides en procédure et en économie de la concurrence
- Permettre une mise en pratique et un apprentissage concret à l'oral comme à l'écrit (négociation, rédaction de contrats d'affaires, techniques contractuelles, conclusions, plaidoiries)
- développer les compétences personnelles et professionnelles (savoir-faire, savoir-être et faire-savoir)
- accompagner chaque étudiant au plus près de son projet professionnel
- Maîtrise du droit français et européen de la concurrence (y compris dans sa dimension économique) et des droits des contrats applicables aux entreprises, qu'il s'agisse des règles de fond ou du contentieux.
- Aptitude au raisonnement et à l'argumentation juridique
- capacité à analyser et à traiter des questions de droit inédite
- être en mesure de dialoguer avec des économistes et d'avoir une compréhension satisfaisante des aspects économiques d'un dossier juridique
- maîtrise de la prise de parole en public
- utilisation à l'écrit et à l'oral de la langue anglaise professionnelle
- capacité à travailler en équipe et à se positionner dans un milieu professionnel
Le master propose une formation alliant enseignements fondamentaux et pratiques dispensés, selon les cas, par des universitaires ou des praticiens. Certains modules sont spécifiquement consacrés au contentieux ou à la pratique, afin d'en favoriser un apprentissage concret. S'y ajoutent des modules de pratique professionnelle comportant des ateliers, des projets, un stage et un mémoire.
Le master 2 de droit de la concurrence et des contrats est destiné aux étudiants titulaires d'une première année de master de droit international et européen des affaires ou de droit des affaires. Il peut également accueillir des étudiants titulaires d'un diplôme français ou étranger considéré comme équivalent par le jury d'admission (Ecole de commerce, IEP, LLM, ...).
Chaque étudiant accomplit un stage et prépare un mémoire qui, s'il le souhaite, peut être un mémoire de recherche. Une aide à la recherche du stage est apportée de façon personnalisée en fonction des besoins exprimés.
Les étudiants prennent tous en charge un projet, en bénéficiant d'un encadrement pour cela (concours nationaux et internationaux en droit de la concurrence, communication, conférence, participation à un projet de recherche; etc.)
NR
D’une façon générale, les diplômés doivent être, à l’issue de la formation, en mesure, selon les cas, de préparer avec succès une thèse de doctorat conjointement à des enseignements de travaux dirigés, ou d’être immédiatement opérationnels et de répondre aux besoins exprimés par les entreprises, cabinets d’avocats ou institutions qu’ils ont vocation à intégrer.
Les compétences acquises tant sur le plan des connaissances que de la méthodologie permettent aux diplômés du Master de Droit de la concurrence et des contrats de prétendre à de nombreuses carrières juridiques, dans un contexte national et européen. Ils peuvent bien évidemment intégrer une entreprise dans tous les secteurs d’activité (depuis l’industrie à la distribution en passant par le luxe ou la banque-assurance) ou un cabinet d’avocat d’affaires – en particulier, les départements contrats, concurrence, distribution. Ils ont également la possibilité de rejoindre un organisme public ou privé en charge du droit de la concurrence et des contrats (Autorité de la concurrence, DGCCRF, autorités de régulation sectorielle, fédérations professionnelles, associations de consommateurs…) ainsi que le monde de l’édition juridique. Par ailleurs, la maîtrise des méthodes générales du droit privé leur facilite un changement d’activité éventuel au cours de leur carrière.
La formation est par ailleurs particulièrement bien adaptée, tant par les matières enseignées que par sa conception et la place accordée à la recherche dans les enseignements et les ateliers (initiation à la recherche, mémoire, rédaction et newsletters, art oratoire, etc.), à la préparation d’une thèse de doctorat, notamment dans la perspective d’une carrière d’enseignant-chercheur. Outre la possibilité de bénéficier d’un contrat doctoral, les liens de la formation avec les milieux professionnels permettent l’obtention de contrats Cifre.
Laboratoire de Droit des Affaires et Nouvelles Technologies.
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Lettre de motivation.
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Liste des autres masters demandés (hors Saclay).
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Tous les relevés de notes des années/semestres validés depuis le BAC à la date de la candidature.
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Attestation de niveau d'anglais (obligatoire pour les non anglophones).
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Attestation de français (obligatoire pour les non francophones).
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Curriculum Vitae.
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Fiche de choix de M2 (obligatoire pour les candidats inscrits en M1 à l'Université Paris-Saclay) à télécharger sur https://urlz.fr/i3Lo.
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Descriptif détaillé et volume horaire des enseignements suivis depuis le début du cursus universitaire.
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Dossier VAPP (obligatoire pour toutes les personnes demandant une validation des acquis pour accéder à la formation) https://www.universite-paris-saclay.fr/formation/formation-continue/validation-des-acquis-de-lexperience.
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Document justificatif des candidats exilés ayant un statut de réfugié, protection subsidiaire ou protection temporaire en France ou à l’étranger (facultatif mais recommandé, un seul document à fournir) :
- Carte de séjour mention réfugié du pays du premier asile
- OU récépissé mention réfugié du pays du premier asile
- OU document du Haut Commissariat des Nations unies pour les réfugiés reconnaissant le statut de réfugié
- OU récépissé mention réfugié délivré en France
- OU carte de séjour avec mention réfugié délivré en France
- OU document faisant état du statut de bénéficiaire de la protection subsidiaire en France ou à l’étranger.