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Diplômés des D.U Entrepreneuriat et fondateurs d’entreprises, tour d’horizon à l’occasion des 5 ans des D.U

Alumni Article publié le 07 avril 2024 , mis à jour le 07 avril 2024

L’Université Paris-Saclay, fêtait le 4 mars dernier, les 5 ans de ses diplômes universitaires (D.U) consacrés à l’entrepreneuriat. A cette occasion, un tour d’horizon des diplômés, ayant depuis fondé une entreprise, a été réalisé ; une galerie de portraits qui était présentée façon « exposition », dans le hall du Hbar, à l’occasion d’une soirée qui rassemblait les diplômés des différentes promotions.  

Depuis plusieurs années l’Université Paris-Saclay forme et accompagne ses étudiants qui souhaitent entreprendre. Elle propose 4 diplômes universitaires (D.U) dont sont issus les différents diplômés rencontrés.

- D.U Entrepreneuriat ;

- D.U. Création et Développement de Start-ups Innovantes ;

- D.U. Entrepreneuriat, Droit, Digital ;

- D.U. Intrapreneuriat.

Laura VALLÉE | Laura Vallée Consulting | Domaine : Consulting

 

Crédit photo : Laura Vallée

Laura Vallée est fondatrice du cabinet de conseil « Vallée Consulting Sport Santé ». Elle est spécialisée dans l’analyse de données sport-santé.

Quel est votre parcours ? Je suis diplômée de la Faculté des Sciences du Sport avec une Licence 1 & 2 STAPS que j’ai complété par une Licence 3 en « Activité Physique Adaptée et Santé » (APA-S). Ensuite, j’ai poursuivi avec un Master 1 & 2 en « Vieillissement, Handicap : Mouvement et Adaptation » (VHMA). Après le Master, j’ai rejoint le D.U

Quel D.U avez-vous suivi ? Je me suis inscrite au D.U « Entrepreneuriat » avec la promotion 2018-2019.

Comment avez-vous connu le D.U ? J’ai pris connaissance de l’existence du Diplôme Universitaire « Entrepreneuriat », via les réseaux sociaux sur le compte Facebook de l’Université Paris-Saclay.

Quels sont les atouts du D.U ? La formation offre une base de départ et un accompagnement aux étudiants qui ont un projet d’entreprise, que ce projet soit très concret ou seulement une idée. Le format « cours du soir » se conjugue parfaitement avec la vie professionnelle. On bénéficie d’intervenants très différents : fondateurs de micro-entreprises, de PME ou encore de start-ups. Les retours d’expériences sont très terrain et se complètent avec les cours, plus théoriques, des enseignants.

Que faites-vous aujourd’hui ? Depuis 2023, je travaille au département de l’Essonne à la Direction « Sports, Jeunesse, Vie Associative ». J’occupe le poste de chef de projet « Sport-Santé et Inclusion dans le Sport ». J’ai aussi une activité d’auto-entrepreneuse, à la sortie du D.U j’ai eu, en effet, une proposition de la Fédération Française de Rugby.

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? C’est la Fédération Française de Rugby qui est venue vers moi via mon réseau professionnel. Grâce au D.U j’avais des billes pour savoir où m’inscrire et déclarer mon activité ou encore pour bien étudier le système d’imposition propre à une salariée qui a une activité entrepreneuriale à côté de son activité principale. Le D.U m’a été utile pour prendre ma décision !  

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Je suis auto-entrepreneuse et j’ai monté le cabinet de conseil « Vallée Consulting Sport Santé ». Je travaille 4 jours par mois pour la Fédération Française de Rugby, je suis en charge de l’étude de données santé pour 20 clubs de rugby qui ont une section sport-santé proposant du rugby à 5. Une discipline sportive régie par les mêmes règles que le rugby à 15 mais qui interdit le plaquage, remplacé par le toucher avec les deux mains du joueur qui a le ballon. Le rugby à 5 permet de proposer cette activité sportive à des personnes qui font du sport dans le cadre de parcours médicaux interdisant le plaquage. J’analyse leurs données cardiologiques qui sont mesurées grâce à un cardiofréquencemètre.

Elisabeth EUDE | Le French Live | E-commerce

 

Crédit photo : Elisabeth Eude

Avec son concept-store en ligne « Le French Live » spécialisé dans le Made In France, Elisabeth EUDE développe le live-shopping, un courant du e-commerce basé sur des vidéos live interactives.

Quel est votre parcours ? Je suis ingénieur de formation, j’ai travaillé pendant plus de 20 ans principalement chez Alcatel devenu Nokia ; D’abord au Pôle R&D puis au Pôle stratégie ensuite à la Fondation et enfin au Pôle Innovation. J’ai repris mes études en formation continue en 2021 en suivant un Master 2 IA data-scientist à l’IA School à Boulogne ainsi que le D.U « Création et développement de start-up innovantes ».

Comment avez-vous connu le D.U ? J’ai fait des recherches sur Internet car je voulais faire de l’IA et entreprendre.

Quel D.U avec vous suivi ? J’ai suivi le D.U « Création et développement de start-up innovantes », promotion 2021-2022.

Quels sont les atouts du D.U ? Le D.U propose un programme complet qui couvre tous les aspects de l’entrepreneuriat de la recherche d’idée à la création, de la prospection à la communication, en passant par le juridique, ou encore la technique comme par exemple le brevetage. La formation permet de se connecter avec les acteurs du territoire, de bénéficier d’interventions diverses et de rencontrer des experts dans différents domaines qui acceptent de partager leurs conseils ou retours d’expériences, de l’enseignant-chercheur à l’entrepreneur. Le D.U permet d’avoir une bonne cartographie de l’écosystème entrepreneurial et de connaitre les différentes aides, les différents types d’incubateurs, etc.

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? Je me suis rendue compte qu’en tant que salarié, j’aimais démarrer de nouveaux projets en plus de ce qui m’était initialement demandé ; J’ai un esprit d’intrapreneuse. J’aime partir d’une feuille blanche, poser des idées et me lancer dans de nouveaux projets. Chez Nokia, en interne, j’ai lancé la création d’un réseau féminin (à une époque où cela n’était pas commun) ou encore une plateforme de e-learning & mentorat. Au cours des années, j’ai transformé ce goût pour l’intrapreneuriat en envie d’entrepreneuriat avec un projet qui serait totalement le mien.

Que faites-vous aujourd’hui ? Je suis à 100% sur mon entreprise Le French Live !

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Le French Live développe le live-shopping qui est un courant du e-commerce où la vente se fait grâce à des vidéos interactives en direct. Les vidéos sont animées par les fondateurs ou des ambassadeurs. Le produit apparait dans la vidéo et depuis cette dernière, il est possible de poser des questions et échanger avec la personne en ligne mais aussi passer commande et payer. Le site est en ligne depuis l’été 2023, je travaille uniquement avec des marques françaises afin de les faire connaitre et développer leurs ventes. Rendez-vous sur : Lefrenchlive.shop

Taline PATCHINIAN – UrbaNatura | AgroTechnologie

 

Crédit photo : Taline Patchanian – Maison du Liban

Avec URBAnatura Taline PATCHANIAN développe le concept de micro-forêts urbaines grâce à la méthode japonaise MIYAWAKI spécialisée pour les espaces restreints en pleine ville.

Quel est votre parcours ? Je suis diplômée de plusieurs masters de l’Université Paris-Saclay. En 2022, j’ai obtenu un Master 2 « biodiversité, écologie, évolution - parcours approche écologique du paysage » formation rattachée à la Faculté des Sciences de l’Université Paris-Saclay et l’École du Breuil. J’avais précédemment obtenu en 2021, un Master 2 en « théorie et démarche du projet de paysage » formation rattachée à l’École Nationale Supérieure de Paysage de Versailles et AgroParisTech.

Comment avez-vous connu le D.U ? Les 5 D.U Entrepreneuriat nous avaient été présentés par la responsable de mon Master 2 Mme Sophie NADOT. Ensuite, sur le campus, j’ai rencontré, une étudiante qui avait fait le D.U Entrepreneuriat et qui le recommandait pour développer les compétences entrepreneuriales.

Quel D.U avez-vous suivi ? Je suis diplômée du D.U Entrepreneuriat, promotion 2022-2023.

Quels sont les atouts du D.U ? Il y a la possibilité de choisir, selon son projet et ses attentes, entre plusieurs D.U qui proposent des modules différents. Pour moi, c’était l’occasion de développer le projet que j’avais en tête qui était au stade conceptuel. Le D.U permet d’accéder à une équipe pluridisciplinaire composée par les enseignants, les entrepreneurs, les intervenants extérieurs ou encore les camarades de promotion : architecte, agronome, économiste, juriste… un projet entrepreneurial mobilise des compétences que l’on n’a pas toujours ! Le D.U est source d’aide et d’accompagnement. Grâce au D.U, j’ai pu démarrer mon projet avec un ancrage dans le pratique : du business plan au lancement de l'activité.

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? En 2021, j’ai décidé de participer au concours « Jardins du monde en mouvement » organisé par la Caisse des dépôts dans le cadre de l’exposition des jardins éphémères du parc de la Cité Internationale Universitaire de Paris, où je logeais en tant qu’étudiante. Le concours était initialement réservé à des professionnels mais j’ai terminé lauréate et j’ai dû me rendre à l’évidence que si je voulais passer à l’étape suivante, je serais dans l’exécution concrète et que donc j’avais besoin de créer une entreprise. Avant de sauter le pas, j’ai décidé de compléter ma

Que faites-vous aujourd’hui ? Après l’obtention du D.U et de mon dernier Master 2, j’ai trouvé un emploi qui me correspond, dans l’entreprise EGIS, en tant qu’architecte paysagiste. Je m’occupe des missions internationales et je suis actuellement en charge des projets d’aménagements paysagers dans différentes régions en Arabie Saoudite.

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? URBAnatura accompagne la plantation de micro-forêts urbaines (dans des lieux publics et privés comme un toit ou un balcon) grâce à la méthode japonaise MIYAWAKI une technique japonaise de plantation de micro-forêts en milieux urbains pour restaurer la biodiversité en ville via des espèces locales. Elle se distingue des approches conventionnelles par ses résultats impressionnants. Comparée à une culture traditionnelle, cette micro-forêt est 30 fois plus dense en termes de couverture végétale, elle pousse dix fois plus rapidement et abrite une biodiversité 100 fois plus riche. Elle convient aux espaces restreints en ville et agit contre le réchauffement climatique, en alignement avec les objectifs de développement durable des Nations Unies. URBAnatura a mené une étude expérimentale qui établit la faisabilité de planter 400 arbres sur une surface de 100 mètres carrés, équivalente à six places de parking. En effet, ce n’est pas un projet simplement économique, mais aussi un projet social avec un vrai levier écologique qui incite la participation citoyenne. Pour URBAnatura « ce sont les petits gestes qui font les grandes forêts ».

Valentin MAULET | Neckpur | Santé

  

Crédit photo : Valentin Maulet

Valentin MAULET est co-fondateur de la start-up NeckEpur® spécialisée en R&D qui travaille sur les interactions entre les médicaments et les dispositifs médiaux utilisés en réanimation.

Quel est votre parcours de formation ? Je suis pharmacien et je suis actuellement en dernière année à la Faculté de Pharmacie de l’Université Paris-Saclay. En parallèle, je complète mon parcours par un double diplôme Master exécutif à l’ESSEC.

Comment avez-vous entendu parler du D.U ? J’ai découvert le D.U grâce à une communication interne de l’Université Paris-Saclay.

Quel D.U avez-vous suivi ? Je suis diplômé du D.U « Entrepreneuriat », promotion 2018-2019.

Quels sont les atouts du D.U ? Ma formation initiale étant scientifique, le D.U m’a permis de compléter mon champ de compétences et de m’ouvrir à d’autres domaines d’expertises. J’ai particulièrement apprécié les exercices de simulation d’entreprise, de la conception initiale jusqu’à l’elevator pitch. Les enseignants et les intervenants sont complémentaires et d’horizons différentes, je salue leur grande disponibilité pour les étudiants. La valorisation de cette formation est aisée dans la vie professionnelle de par le large éventail de compétences qu’elle aborde. 

D’où vous est venu l’envie d’entreprendre ? Je crois que l’entrepreneuriat est corrélé à une série de traits de caractère, dont la curiosité et le désir de relever des défis. Lorsque j’observe un problème, mon envie première est de trouver une solution !

Que faites-vous aujourd’hui ? Je termine actuellement ma formation par un Executive Ms à l’ESSEC, en alternance avec le laboratoire Eli Lilly au sein du département médical Immunologie. Parallèlement, je reste investi dans le développement de NeckEpur®.

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? NeckEpur®, fondée en mars 2022, a développé une méthode brevetée d’évaluation pharmacocinétique des interactions (élimination / séquestration etc.) entre les médicaments et les dispositifs médicaux utilisés lors des thérapies de circulation extracorporelle. Notre objectif est d’améliorer et de sécuriser la prise en charge des patients en réanimation. Après quatre ans de travail sur le projet, NeckEpur® propose désormais ses services aux professionnels de l’industrie pharmaceutique depuis un an. Pour en savoir plus : neckepur.com

 

Pacifique NIYONGABO FAIDA | P.H.C Jus | Agro-alimentaire

      

Crédit photo : Pacifique Niyongabo Faida

Pacifique NIYONGABO FAIDA propose avec P.H.C Jus des produits uniques pour trinquer de manière originale avec des spiritueux, des vins et des jus qui sortent de l’ordinaire.

Quel est votre parcours ? J’ai d’abord obtenu un bac puis un BTS électro-technique. Avec mon père, nous avons souhaité relancer en France notre entreprise familiale qui existait au Rwanda, j’ai donc complété ma formation par un BTS commerce international puis le D.U Entrepreneuriat et le Diplôme Etudiant-Entrepreneur (D2E).

Comment avez-vous connu le D.U ? J’ai connu le D.U par la Mairie d’Orsay qui connaissait mon projet entrepreneurial et qui m’a orienté vers l’Université Paris-Saclay et ses formations entrepreneuriales. 

Quel D.U avez-vous suivi ? J’ai suivi le D.U « Entrepreneuriat », promotion 2018-2019.

Quels sont les atouts du D.U ? Le D.U « Entrepreneuriat » m’a permis de comparer les différents statuts d’entreprise qui existent, de comprendre les canaux de distribution, de me lancer en me sentant moins seul et en étant accompagné par des structures solides. Le fait que le D.U se fasse en présentiel était important pour moi car j’avais envie de rencontrer des personnes avec qui échanger sur mon projet et sur l’entrepreneuriat en général, j’ai pu élargir mon réseau. J’ai par exemple rencontré le Design Spot qui m’a accompagné pour le packaging de mes contenants que ce soit les bouteilles ou les étiquettes. Les cours proposés sont à la fois théoriques et pratiques, on bénéficie de nombreux intervenants notamment des chefs d’entreprise avec des retours d’expériences vraiment intéressants.

D’où est venu l’esprit d’entreprendre ? Depuis tout petit, j’ai toujours été aux côtés de mon père dans son entreprise au Rwanda, cela m’amusait de l’aider et j’ai ainsi toujours apprécié le monde de l’entreprise. 8 ans après notre venue en France en tant que réfugié politique, mon père a souhaité reconstruire son entreprise en France, j’ai eu envie de participer à ce nouveau départ et je suis honoré de faire découvrir de nouveaux produits sur le marché français.  Cela permet de faire découvrir de nouveaux produits sur le marché français.

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? J’ai co-fondé avec mon père deux entreprises, la première Justin Faida qui propose des alcools et la seconde P.H.C Jus qui propose des produits alimentaires. Nos produits phares sont la liqueur de sorgho, un spiritueux 100% made in Essonne produit en partenariat avec des agriculteurs locaux, le vin de banane, les jus de gingembre et d’hibiscus, quelques produits alimentaires parmi lesquels le sorgho à cuisiner qui proche des lentilles, et les arachides grillées. Nous sommes distribués en Ile-de-France, en Belgique, dans des magasins de proximité notamment les Franprix ainsi que des Intermarché comme celui de Ballancourt-sur-Essonne d’où je suis originaire et des bars et restaurants par exemple L’Arlequin sur le lac dans le 19e arrondissement de Paris.

Que faites-vous aujourd’hui ?  En 2019 nous avons lancé avec mon père une entreprise individuelle à Ballancourt-sur-Essonne avec l’opportunité d’être proche du marché international de Rungis où l’on peut s’approvisionner en matière première de qualité, je pense notamment aux fruits frais. Aujourd’hui nous développons nos marchés avec une importante activité de démarchage commercial, nous veillons à la qualité avec un travail en continu sur la recherche des bonnes matières premières et nous cherchons toujours à expérimenter de nouveaux produits.

Grégoire TREMEAU | Projets Drone | Tech Audiovisuel

  

Crédit photo : Grégoire Tremeau

Grégoire Tremeau est télépilote professionnel de drone. Avec « Projets Drone » il réalise des photographies et vidéos aériennes.

Quel est votre parcours ? J’ai d’abord suivi deux années de prépa intégrée à Polytech Paris-Saclay de 2021 à 2023. En 2023, j’ai suivi, en parallèle de Polytech, le Diplôme Etudiant Entrepreneur (D2E) ainsi que le D.U « Entrepreneuriat ». Cette année, je poursuis ma formation à Polytech Lille qui propose l’option « instrumentation et ingénierie d’affaire » qui n’est pas proposée à Polytech Paris-Saclay. J’ai quand même gardé un pied à Paris-Saclay car  je suis, en parallèle et à distance, une licence 3 « Gestion d’entreprise ».

Quel D.U avez-vous suivi ? Le D.U « Entrepreneuriat », promotion 2022-2023.

Quels sont les atouts du D.U ? Le D.U permet de comprendre le fonctionnement d’une entreprise avec à la fois des enseignants et des intervenants, notamment des créateurs d’entreprise qui ont plaisir à partager et transmettre leurs expertises. Mon entreprise était lancée avant que je commence le D.U, je me suis rendu compte que pour le côté pratique j’étais à l’aise mais qu’il me manquait une approche plus théorique. Le D.U m’a permis de mieux cadrer mon projet.

D’où est venu votre esprit d’entreprendre ? Depuis le lycée, j’ai toujours eu envie d’entreprendre, travailler, mener des projets, gagner un peu d’argent. Dès mes 16 ans, j’ai toujours eu des jobs étudiant. Cette année, j’ai candidaté pour être bénévole aux J.O 2024. Je vais assister les photographes pour la Fédération Française de Handisport sur les sites de Montigny-le-Bretonneux et Versailles !

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Avec « Projets Drone » je télépilote un drone professionnel pour réaliser des photographies et vidéos aériennes. Je suis reconnu en tant que professionnel grâce à une formation réalisée à Orly avec la DGAC qui permet d’obtenir une certificat d’aptitude qui est une sorte de code de la route de l’aviation. L’utilisation des drones n’est pas anodine, elle est encadrée par une réglementation stricte.

Que faites-vous aujourd’hui ? Mon activité de drone est opérationnelle mais je fais la part des choses avec mes études qui ne sont pas encore terminées. Je cale mes missions en fonction de mes vacances scolaires et je travaille pas mal durant l’été. Parmi mes derniers clients, je compte Siblu Village, des campings 3 étoiles ou une grande surface comme Grand Frais.

Raphaël MICHELON | Kinésithérapeute indépendant | Santé

Crédit photo : Raphaël Michelon

Raphaël MICHELON est kinésithérapeute indépendant au sein du Cabinet « Carré des Lys » du côté de Tours.

Quel est votre parcours ? Après mon Bac S, je me suis inscrit en première année à la Faculté des Sciences du Sport afin de préparer le concours d’entrée de kinésithérapeute que j’ai obtenu. J’ai ensuite fait 4 ans à École Nationale de Kinésithérapie et de Rééducation (ENKRE) de Saint-Maurice en Île-de-France.

Comment avez-vous connu le D.U ? J’en ai entendu parler grâce au bouche-à-oreille puis j’ai consulté le site Internet de l’Université Paris-Saclay.

Quel D.U avez-vous suivi ? J’ai suivi le D.U « Entrepreneuriat » avec la promotion 2019-2020.

Quels sont les atouts du D.U ? J’ai vraiment apprécié certains cours qui servent de base de réflexion sur ce qu’est une entreprise et plusieurs intervenants étaient passionnants. Le D.U est l’occasion de rencontrer de nombreux acteurs notamment locaux et de se faire un premier réseau. La formation permet de se poser de bonnes questions théoriques (business model, business plan) et pratiques, mais aussi de prendre de la hauteur. Je me souviens d’un intervenant qui nous questionnait sur le but d’entreprendre : Est-ce se réaliser ? Transmettre quelque chose ? Gagner de l’argent ?

Que faites-vous aujourd’hui ? Je me suis inscrit au D.U pour lancer une start-up dans le domaine de la santé mais pour le moment ce projet est en pause, j’ai préféré me stabiliser professionnellement en devenant kinésithérapeute indépendant.

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? J’exerce au « Carré des Lys » du côté de Tours en tant que kiné indépendant. Mon quotidien professionnel a une dimension entrepreneuriale, en tant qu’indépendant je fais ma propre comptabilité par exemple ! Le D.U offre de bonnes bases.

Sharline Gaillard | Maison Sharline | Beauté

  

Crédit photo : Sharline Gaillard

Sharline GAILLARD est prothésiste ongulaire et technicienne du regard, avec Maison Sharline elle propose des prestations pour la beauté des ongles, des cils et des sourcils.

Quel est votre parcours de formation ? Après mon bac, j’ai obtenu une licence communication. Ayant envie d’entreprendre, je me suis lancée dans le D.U puis j’ai complété mon parcours par une série de formations esthétiques pour les ongles, cils et sourcils.

Comment avez-vous entendu parler du D.U ? Je suis tombée sur le D.U en faisant des recherches sur internet pour trouver une formation consacrée à l’entrepreneuriat

Quel D.U avez-vous fait ? J’ai suivi le DU « Entrepreneuriat », promotion 2019-2020.

Quels sont les atouts du D.U ? C’est une formation du soir compatible avec une activité professionnelle. Les intervenants apportent différents points de vue selon leurs expériences. Quand j’ai suivi le D.U, j’étais encore auto-entrepreneuse, la formation m’a aidé à monter une société, j’ai dû me replonger dans mes cours plusieurs fois mais j’y ai souvent trouvé mes réponses !

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? J’avais envie d’être mon propre patron. Comme j’étais rarement satisfaite des soins esthétiques en tant que cliente, j’ai eu envie de créer mon propre institut avec mes façons de faire !

Pouvez-vous me présenter votre entreprise ? J’ai créé un institut de beauté nommé « Maison Sharline », je suis prothésiste ongulaire et technicienne du regard. Je propose des prestations beauté pour les ongles, les cils et les sourcils. J’ai démarré mon activité en 2020, j’ai d’abord proposé des prestations à domicile, depuis je suis installée dans un petit local à Cergy.

Que faites-vous aujourd’hui ? Je travaille à 100% pour « Maison Sharline ». J’aimerais trouver un local plus grand et embaucher pour monter plus tard un grand salon rassemblant toutes les prestations esthétiques.  

Solène ABBOUD | Solène Abboud Coaching | Coaching

   

Crédit photo : Solène Abboud

Solène ABBOUD est coach en prise de parole, elle forme les professionnels à la maîtrise d’une prise de parole efficace, convaincante et inspirante.

Quel est votre parcours de formation ? Je suis diplômée de la Faculté Jean Monnet où j’ai effectué l’intégralité de mon parcours de la Licence au Master 2. Je suis un pur produit Paris-Saclay avec une Licence de droit privé, un Master 1 en droit des affaires avec une spécialité en droit commercial pour terminer après une année d’échange avec la Chine par un Master 2 entrepreneuriat et digital.

Comment avez-vous entendu parler du D.U ? Pour être honnête je ne m’en souviens plus du tout… je crois que c’était un passage en amphi mais je ne suis plus certaine.

Quel D.U avez-vous fait ? J’ai suivi le DU « Entrepreneuriat, droit et digital », promotion 2018-2019.

Quels sont les atouts du D.U ? Le plus difficile avec l’entrepreneuriat c’est de se lancer parce qu’on ne sait pas par où commencer. Le DU permet de découvrir les bases qui permettent de trouver un point de départ solide.

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? J’ai toujours été attirée par l’entrepreneuriat. J’ai donc multiplié les initiatives pour développer mon projet, en m’inscrivant au D.U ou en participant à un hackathon ayant pour thème la création d’une entreprise en 4H en lien avec le digital et le droit (que j’ai d’ailleurs gagné à l’époque). En Master 2, nous avions le choix de faire un stage de 6 mois ou monter son entreprise. J’ai lancé mon activité. J’ai d’abord fait appel à mon petit réseau, j’ai aussi mis en ligne mon profil sur des plateformes de free-lance comme Malt.fr et j’ai commencé à me construire une communauté en créant du contenu sur LinkedIn. J’ai été aussi rappelée par l’Université Paris-Saclay pour assurer un TD en art oratoire ou encore coacher en français et en anglais des étudiantes et des diplômées entrepreneuses pour réussir un concours de pitch avec à la clé un voyage à Boston.

Pouvez-vous me présenter votre entreprise ? Je propose du coaching, des formations et des conférences à différents publics sur les sujets de la prise de parole : l’éloquence, le pitch, la conviction, la vente, etc. Mes publics sont très différents : étudiants, ingénieurs, avocats, ou encore personnalités politiques mais ma cible principale reste les entrepreneurs.

Que faites-vous aujourd’hui ? Je continue d’accompagner toutes les personnes qui souhaitent progresser à l’oral, passer un message et augmenter leur impact sur leur auditoire.

Houssem MATMATI | MAGHREB HEALTHCARE- MHC | Santé

  

Crédit photo : LinkedIn Houssem MATMATI

Houssem MATMATI est fondateur de MHC Maghreb Healthcare qui fabrique et commercialise des dispositifs médicaux et d’ANFA Cosmetics, une entreprise spécialisée en cosmétique.

Quel est votre parcours de formation ? J’ai pu intégrer la Faculté de Pharmacie de l’Université Paris-Saclay grâce à un dispositif passerelle. J’ai obtenu un Master 1 en « Qualité et produits de santé » puis un Master 2 « Dispositifs médicaux : Evaluation, Enregistrement et Vigilance ». J’ai poursuivi avec un Doctorat en « Dispositifs médicaux ». J’ai complété mon parcours avec un D.U pharmaco-économie « Médicaments et dispositifs médicaux ».

Quel D.U avez-vous suivi ? J’ai suivi le D.U « Entrepreneuriat », promotion 2018 - 2019. Je suis aussi diplômé du Diplôme Etudiant Entrepreneur (D2E).

Comment avez-vous entendu parler du D.U ? J'ai découvert le D.U Entreprenariat durant mes études à Paris-Saclay. C’était une vraie opportunité pour approfondir mes connaissances en entrepreneuriat et acquérir les compétences nécessaires pour créer et gérer une entreprise.

Quels sont les atouts du D.U ? C’est une formation très enrichissante qui m'a permis d'acquérir une compréhension approfondie du processus entrepreneurial. Je pense à la planification stratégique, la gestion financière ou encore le développement de produits. Le D.U m'a également offert un réseau professionnel solide et des ressources précieuses pour concrétiser mes projets d'entreprise.

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? Avec cinq années d’expérience dans l’industrie des dispositifs médicaux et une formation qui m'a doté de solides compétences techniques, de la recherche à la commercialisation, j’ai toujours voulu mettre le patient au centre de mes préoccupations. Mes années d’expérience m’ont permis de m'adapter au dynamisme du secteur pharmaceutique, d'améliorer mes compétences méthodologiques, mon autonomie et ma capacité à travailler en équipe. Mon ouverture d’esprit, ma curiosité et ma culture pharmaceutique me permettent de toujours chercher à avoir une vision globale des enjeux. Entreprendre avec une entreprise au service du patient est donc un accomplissement.

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Maghreb Healthcare fabrique et commercialise des dispositifs médicaux avec une triple exigence de fournir la juste qualité, au juste coût, dans le juste délai.

Que faites-vous aujourd'hui ? Je travaille au développement et la croissance de Maghreb Healthcare. J’ai créé une seconde entreprise ANFA Cosmetics spécialisée dans les produits cosmétiques.

Jennifer ADJIWANOU | Jena Mondoukpe | Coaching

  

Crédit photo : Jennifer Adjiwanou

Jennifer ADJIWANOU est coach spécialisée dans le conseil en image et le personnal branding pour les professionnels.

Quel est votre parcours ? Je suis arrivée en France après une licence obtenue au Bénin à l’École Nationale d'administration et de Magistrature (ENAM-BENIN). Déjà intéressée par l’entrepreneuriat, j’ai fait la licence « Gouvernance et Encadrement des Organisations » à l’Université d’Evry. J’ai pu approfondir ma gestion de projet grâce au D.U, puis j’ai poursuivi avec un Master 2 « Management Stratégique, Développement d'entreprise et Entreprenariat » à l’ESAM School.

Comment avez-vous connu le D.U ? J’ai connu le D.U en participant à un évènement organisé par la région avec la ville de Massy et consacré à l’entrepreneuriat étudiant.

Quel D.U avez-vous suivi ? J’ai suivi le D.U « Entrepreneuriat », promotion 2018-2019.

Quels sont les atouts du D.U ? J’ai apprécié le côté pratique et pragmatique avec peu de « blabla ». Le D.U permet de rencontrer de nombreux professionnels, d’assister à de nombreuses conférences et d’échanger avec des experts. Je me souviens d’un avocat, d’un fiscaliste ou encore d’un community manager qui nous avait donné des bases pour la maitrise et l’animation des réseaux sociaux. Beaucoup de cours proposent des travaux pratiques de mise en situation qui permettent une approche concrète et pratique du notre projet.

D’où est venu l’esprit d’entreprendre ? J’ai toujours aimé entreprendre, je me souviens qu’à l’âge de 12 ans je revendais des paquets de chewing-gum à l’unité dans la cour de l’école ! J’aime la capacité de pouvoir répondre à un besoin et d’avoir une liberté financière.

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Au départ, j’ai lancé une entreprise de prêt-à-porter valorisant les tissus oubliés d’Afrique mais j’ai été frustrée car j’étais plus dans la revente que la création. Aujourd’hui mon entreprise « Jena Mondoukpe » s’est spécialisée dans le conseil en image et le personnal branding. Pour faire simple, j’accompagne les professionnels dans la construction de leur image professionnelle. Dernièrement, j’ai accompagné un client qui est comptable et qui va occuper un poste de manager, on a travaillé son éloquence, sa communication, sa manière de s’exprimer et ses compétences managériales. L’idée est de pouvoir exprimer son leadership et ses idées, rechercher son système de management dans trahir ses convictions et ses valeurs mais sans pour autant imposer une vision. J’ai gardé une dimension stylisme puisque j’accompagne aussi mes clients dans la construction d’un dressing professionnel avec des tenues adaptées à leur morphologie et leur fonction. En savoir plus : https://www.linkedin.com/company/jena-mondoukpe/

Que faites-vous aujourd’hui ?  Je conseille et coache des clients régulièrement mais j’ai une activité professionnelle complémentaire puisque je suis conseillère commerciale chez Orange. Mon objectif est de développer mon activité d’entrepreneuse et d’y consacrer 100% de ma vie professionnelle.

Omar Cherkaoui RHAZOINI | Agence vidéo | IT-Com

Crédit photo : Omar Cherkaoui Rhazoini

Omar Cherkaoui RHAZOINI est le fondateur d’une agence spécialisée dans les vidéos de prospections commerciales.

Quel est votre parcours ? Je suis diplômé d’une double-licence 1 & 2 « Mathématique & Economie ». Ayant envie d’entreprendre avant tout, je n’ai pas souhaité poursuivre ma Licence 3.

Quel D.U avez-vous suivi ? J’ai suivi le D.U « Création et développement de start-up innovantes », promotion 2020-2021.

Comment avez-vous connu le D.U ? Durant ma licence 1 grâce à un mail en interne du Pôle Entrepreneuriat de l’Université Paris-Saclay.

Quels sont les atouts du D.U ? J’ai fait le D.U afin de me faire un réseau et de rencontrer des gens, malheureusement je suis tombé en pleine année COVID19 avec du 100% distanciel. Le D.U permet de profiter d’intervenants intéressants et de consolider les bases théoriques de la création d’entreprise.

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? J’ai toujours eu envie d’entreprendre, notamment grâce à des contenus inspirants repérés sur les réseaux sociaux. Venu depuis le Maroc vers la France pour étudier, la première chose que j’ai faite 2 mois après mon arrivée était de déposer mon statut d’auto-entrepreneur ! Entreprendre est un projet entre plaisir et aventure qui me plait beaucoup.

Que faites-vous aujourd’hui ? J’ai monté ma première start-up en parallèle de ma Licence 2. « InfluentGuest » était une application mobile de mise en relation entre influenceurs et restaurateurs. Ce projet n’ayant pas fonctionné, j’ai monté une seconde start-up « Widevo » qui est un logiciel de prospection commerciale au format vidéo pour les entreprises en BtoB. J’ai eu l’opportunité d’être incubé à la Station F pendant 6 mois. Ce projet a évolué et s’est transformé en agence. J’ai donc fondé une troisième start-up.

Pouvez-vous nous présenter votre entreprise ? Ma troisième et dernière start-up n’a pas encore de nom, je suis reparti du concept de Widevo mais plutôt que de proposer un logiciel de prospection commerciale au format vidéo, je réalise en tant qu’agence des vidéos de prospections commerciales envoyées par mail ou via LinkedIn. Si la vidéo est lue, l’agence propose un démarchage commercial téléphonique. Je suis actuellement en train de recruter une première personne.

Nora OUNAHA | SheOs | Vie associative

  

Crédit photo : Nora Ounaha et SheOs

Nora OUNAHA est vice-présidente et responsable évènementielle de SheOs, la première association étudiante qui œuvre pour l’égalité dans le milieu entrepreneurial.

Quel est votre parcours de formation ? J’ai d’abord fait médecine à l’UVSQ avec la première année à l’issue de laquelle j’ai obtenu le concours tout en me rendant compte que je n’étais pas faite pour ce métier. Je me suis donc réorientée en droit. Je suis actuellement en troisième année de licence à la Faculté droit économie management de l’Université Paris-Saclay.  

Quel D.U avez-vous suivi ? J’ai suivi le D.U « Entrepreneuriat droit et digital », promotion 2022 - 2023.

Comment avez-vous entendu parler du D.U ? Je me suis toujours intéressée à l’entrepreneuriat. Durant ma licence de droit j’ai eu envie de suivre une formation complémentaire afin de développer mes compétences intrapreneuriales et entrepreneuriales. Je me suis renseignée et j’ai trouvé toutes les informations pratiques concernant le D.U sur le site internet de l’Université Paris-Saclay.

Quels sont les atouts du D.U ? Je dirais d’abord la pluridisciplinarité des enseignements et la diversité des intervenants. Le D.U aborde le digital, le codage, le droit, la propriété intellectuelle, les RH, le marketing ou encore la communication. C’est l’occasion de rencontrer des experts du commercial au représentant de la CCI. On a des visites et des exercices pratiques comme par exemple une semaine de codage réalisée au 42. Au sein de la promotion, il y a une diversité des profils, les étudiants ont des cursus et des projets très différents de la cancérologie à l’école d’ingénieur avec des personnes qui viennent au-delà du périmètre de l’Université Paris-Saclay. On apprend beaucoup des autres et j’ai eu des échanges qui ont été sources de réflexion et d’inspiration On peut intégrer le D.U avec un vrai projet, la formation permet un vrai coup de pouce. De mon côté, ce n’était pas mon cas, j’ai donc travaillé sur des projets fictifs, mais cela m’a été très utile.

D’où est venu l’envie d’entreprendre ? J’ai dans ma famille une tante, dont je suis très proche, qui est chef d’entreprise. J’ai toujours aimé l’aider notamment durant les vacances.  Après ma première année de médecine, j’ai pris la décision de vivre avec passion, de me sentir utile, d’aider les autres et d’exercer un métier qui me correspond. Le D.U a conforté mon envie d’entreprendre notamment grâce à ma promotion, rencontrer les autres étudiants-entrepreneurs est source d’émulation.

Pouvez-vous nous présenter votre association ? SheOs est la première association étudiante qui œuvre pour l’égalité dans le milieu entrepreneurial. Nous avons identifié trois problématiques : le manque de formation appropriée en matière d’entrepreneuriat (pour les hommes comme pour les femmes), le manque de réseau féminin, le manque de modèle de femme entrepreneur pour inspirer les générations suivantes. Avec SheOs nous proposons des formations gratuites pour casser la barrière financière, en présentiel ou en distanciel pour faciliter l’organisation des femmes qui ne vivraient pas à Paris et casser la barrière géographique. Nous mettons en avant des femmes entrepreneuses inspirantes et le fait de rejoindre l’association permet d’accéder à un réseau tout en le faisant grandir. Ainsi, nous cassons une barrière mentale. Nous proposons une MasterClass pour les femmes souhaitant faire murir une idée ou un projet et un programme d’incubation pour les femmes souhaitant lancer leur entreprise.

Que faites-vous aujourd'hui ? Je suis toujours étudiante en juridique et je suis très investie dans l’association SheOs. Le D.U m’a servi de tremplin car je me suis rendue compte qu’il y avait beaucoup de choses à faire pour encourager l’entrepreneuriat féminin. J’aime l’idée de m’investir et d’avoir un impact. C’est une vraie expérience associative qui conforte mon choix de travailler dans le milieu entrepreneurial. C’est un secteur avec de nombreux métiers peu connus comme start-up manager ou bras droit CEO.