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Les 100 startups où investir selon Challenges

Alumni Article publié le 25 octobre 2021 , mis à jour le 27 octobre 2021

Pour la douzième année consécutive, le magazine Challenges a publié sa sélection des « 100 start-up où investir ». Plus de 700 dossiers ont été déposés et 100 start-up ont été retenues parmi lesquelles 18 start-up made in Paris-Saclay rassemblant un total de 23 diplômés ! Car oui, l’Université Paris-Saclay offre une base solide pour créer une entreprise mais aussi un vivier de talents où il fait bon de rencontrer ses associés.

Pour candidater à la sélection 2021 les startups devaient répondre aux critères suivants :
• Avoir son siège social en France ;
• Avoir moins de 4 ans (pas créée avant 2017) ;
• Faire du chiffre d’affaires (sauf biotech) ;
• Ne pas avoir fait partie des éditions précédentes des 100 de Challenges ;
• Chercher des fonds d’ici à mars 2022 (avec un chiffre réaliste!) ;
• Être indépendant d’un grand groupe et non coté.

Découvrez ici les 18 start-up et 23 diplômés de l’Université Paris-Saclay réparties sur les secteurs suivants : services numériques, e-commerce, deep-tech & high-tech, greentech & impact, medtech & biotech.

Services Numériques

 

Thibault WILHELM – OPLIT « L’outil de planification de la production »

Thibaut Wilhelm est diplômé d’une licence en économie de la Faculté Droit Economie Gestion. Avec OPLIT, il propose une solution data de planification de la production qui permet aux sites industriels de prendre les bonnes décisions en gérant plus facilement les charges, les capacités, les approvisionnements, l'accessibilité mais aussi l’analyse des données sur l'ensemble du cycle de la production. La plateforme permet une collecte automatisée des données, une simulation ludique de différents scénarios, un suivi continu de la production et une utilisation de l'IA pour identifier les opportunités d'amélioration.

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Grace MEHRABE – OUTMIND « Le moteur de recherche interne intelligent »

Grace MEHRABE est diplômée de la Faculté Droit Economie Gestion, après l’obtention d’une licence gestion des entreprises puis d’un master stratégie et management à l'international avec un mémoire intitulé « Etude de l'impact des différences de culture entre startup et grands groupes, quelle influence sur les relations commerciales ? ». Avec OUTMIND, entreprise co-fondée avec Arthur CAILLAUD, diplômé de Centrale Supélec, elle propose un moteur de recherche connecté aux outils internes des entreprises, s’appuyant sur l’intelligence artificielle, qui permet aux entreprises de trouver un document, un message ou encore un interlocuteur interne. La recherche d'informations devient une activité à part entière d'un nombre grandissant de fonctions, d'autant que les outils de communication et de stockage se sont multipliés. Avec OUTMIND, les salariés pourraient gagner jusqu'à trois heures par semaine.

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Arthur SEGARD – UPSTRIDE « L’IA plus légère »

Arthur SEGARD a obtenu un Master 2 en droit à la Faculté Droit Economie Gestion. Avec UPSTRIDE, il propose une interface applicative de programmation (API) permettant la création et le déploiement d'IA avec significativement moins de données et jusqu'à 16 fois moins de puissance. L’intelligence artificielle par réseaux de neurones (deep learning) est une innovation qui a besoin de milliers de données et d’une grosse puissance de calcul pour s’entrainer et devenir efficace, ce qui en rend l’accès difficile à beaucoup d’entreprises, qui n’ont ni le temps ni les moyens ni les compétences pour collecter, trier, préparer de tels volumes de données. En utilisant l’algèbre géométrique, UPSTRIDE a développé un système de programmation permettant de créer et déployer des modèles IA robustes à partir de dix fois moins de données d’entrainement et jusqu’à 16 fois moins de puissance de calcul. La start-up a passé deux ans à développer et perfectionner ses formats de données uniques, une technologie brevetée, et a obtenu les prestigieuses bourses i-Lab et French Tech Emergence. Elle commercialise son produit sous forme de licence et a déjà signé un contrat avec le géant de l’automobile BMW.

E-Commerce

 

Mickael BENHASSEN – ASSURLY « L’assurance immobilière à moindre coût »

Mickael BENHASSEN, diplômé d’un Master en système & communication Homme-Machine à la Faculté des Sciences, est un professionnel de l’assurance, après un passage par la Société Générale Assurances, il lance ASSURLY, pour bousculer le marché de l’assurance-emprunteur. Lancé en 2018, ASSURLY permet (grâce à la loi Bourquin) de résilier chaque année son assurance immobilier, la start-up entend attirer les clients avec ses prix challengés. « On peut économiser jusqu’à 50 euros par mois en changeant d’assurance emprunteur, soit jusqu’à 20.000 euros par crédit » affirme ASSURLY qui promet des tarifs 50% moins élevés que ceux des bancassureurs et de 20 à 30% en dessous de ceux pratiqués par les assureurs alternatifs pour un prêt de dix ans. L’appli veut aussi séduire par sa simplicité. « En moins de dix minutes, sur votre téléphone, ASSURLY vous propose une nouvelle assurance emprunteur à un tarif personnalisé. Vous validez un mandat de substitution, et ASSURLY s’occupe de toutes les démarches administratives ».

DEEPTECH & HIGH-TECH

 

Takis KONTOS – C12 QUANTUM ELECTRONICS « Accélérateurs et les processeurs quantiques »

Takis KONTOS, est diplômé de la Faculté des Sciences où il a obtenu un doctorat au Centre de Spectrométrie Nucléaire et de Spectrométrie de Masse (CSNSM) dans le domaine de la physique du solide en étudiant la coexistence entre ferromagnétisme et supraconductivité dans des nanostructures, sous la direction de Marco APRILI et Jérôme LESUEUR. Il a co-fondé C12 Quantum Electronics, une start-up qui planche sur les accélérateurs et les processeurs quantiques, et qui ambitionne de mettre au point une offre d'accélérateurs quantiques pouvant s'intégrer dans des supercalculateurs classiques et concevoir des processeurs spécifiques pour des usages précis.

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Valerian GIESZ – QUANDELA « Solutions pour le développement des technologies quantiques »

Valerian GIESZ est diplômé de l’Université Paris-Saclay. Il démarre son parcours à l’IOGS avec un diplôme d’ingénieur en photonique, optique, nanosciences. Il poursuit par un doctorat en nanotechnologie, optique et matière obtenu à la Faculté des sciences et au LPN. Il effectue son post-doc en revenant au sein de l’IOGS. Il est secrétaire de l’association French Tech Saclay et co-fondateur de QUANDELA auprès de Niccolo Somaschi et Pascale Senellart, chargée de Mission sciences et technologies quantiques auprès de la Présidence de l'Université Paris Saclay. QUANDELA est spécialisée dans la conception et fabrication de solutions performantes et compactes pour le développement des technologies quantiques. La strat-up développe une technologie unique pour la fabrication de sources de lumière quantique utiles pour de multiples applications stratégiques : ordinateurs quantiques optiques, communications quantiques, imagerie, ou encore détection à base de lumière quantique.

GREENTECH & IMPACT

 

Catherine BALLARD – EARTHENCY « Protéger ensemble l’environnement »

Catherine BALLARD est diplômée de la Faculté de Pharmacie avec un D.U. en pharmacologie et toxicologie. Avec EARTHENCY, elle propose à toutes les communes de France une méthodologie d'action et de prévention des pollutions des milieux afin de générer une médecine de l'Environnement. La start-up permet une action collective de protection du bien commun impliquant citoyens, territoires et acteurs économiques doublée d’un système de communication (proposé aux communes) et permettant aux citoyens et aux professionnels, de recueillir des observations de pollutions terrestres et aquatiques. EARTHENCY valorise dans un second temps, les actions des communes en images, sur une cartographie nationale interactive. L'objectif est de redonner le goût et l'exemplarité de l'action mais aussi la confiance citoyenne envers leurs institutions.

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Romain SCHMITT – FARM3 « La première ferme verticale »

Romain SCHMITT est diplômé de la Faculté des Sciences avec un Master 1 en neurosciences et un Master 2 en biologie synthétique. Il est le fondateur de Farm3 « Grow Anything, Anywhere », une start-up née en 2019, qui propose « le cube », une petite ferme verticale, modulaire d'une surface de 12 m2, qui peut abriter 400 plantes par m2, soit jusqu’à 5000 plantes avec l'objectif de créer une structure technologique permettant de produire en local et d'optimiser le rendement et la qualité des produits obtenus tout en optimisant les ressources nécessaires à la production grâce à un fonctionnement en circuit fermé pour limiter au maximum le gaspillage d'eau, de nutriments et d'énergie.

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Arnaud DELUBAC – GREENLY « Piloter son budget carbonne »

Arnaud DELUBAC est diplômé de Centrale Supélec, il est le fondateur de GREENLY, aujourd'hui leader dans les solutions de tracking carbone, qui permettent aux entreprises d'avoir accès à un bilan carbone certifié et digitalisé. Elue Fintech de l’année, Greenly permet à chacun de piloter son budget carbone au même titre que son budget financier, via une application mobile pour les particuliers ou un tableau de bord climat pour faire le bilan carbone pour les entreprises ou encore une API pour les banques ou les directeurs financiers. En pratique l'IA Greenly analyse chaque dépense en identifiant automatiquement le produit ou le panier d’achat type à partir du libellé fournisseur. Les émissions sont calculées en appliquant au montant de la dépense un « facteur d’émissions monétaire », correspondant au ratio des émissions d’un produit sur son cycle de vie rapporté au prix, ou au ratio des émissions d’un secteur d’activité rapporté à son chiffre d’affaires. Une approche par les paiements qui devient un nouveau standard bancaire, et permet de fusionner la comptabilité financière et carbone, afin de généraliser la lutte contre le réchauffement.

MEDTECH & BIOTECH

 

Anastasia GRABARZ – ILONOV « Les biothérapies contre le diabète »

Anastasia GRABARZ est diplômée de la Faculté des Sciences avec une thèse au sein de l’école doctorale gènes, génomes, cellules. Elle a co-fondé ILONOV, une start-up née auprès du Centre européen d’étude sur le diabète, association à la fois de soutien aux malades et de recherche de pointe. ILONOV a pour but de développer de nouvelles biothérapies first-in-class ciblant la prévention et le traitement des diabètes. Lancée en octobre dernier, ILONOV est basée sur les travaux qui ont permis la découverte des propriétés d’une protéine recombinante, la décorine, naturellement sécrétée, pour protéger le pancréas, l’organe régulateur de la glycémie. Cette protéine a notamment prouvé qu’elle pouvait rendre moins dangereuses la centaine de transplantations de pancréas annuelles en France, une procédure de dernier recours pour les diabètes de type 1, maladie qui touche 300 à 400.000 personnes en France.

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Jean Philippe ANNEREAU – MEDETIA « Culture de cellules contre les maladies rares »

Jean-Philippe ANNEREAU est diplômé de l’Université Paris-Saclay. Avec MEDETIA, il propose de nouveaux composés thérapeutiques pour le traitement des ciliopathies, en partenariat avec l’Institut Imagine. Le principe ? Récupérer des cellules spécifiques dans l’urine des patients, les mettre en culture et restaurer ainsi les fonctions déficientes de certaines pathologies comme la cécité progressive de l’enfant ou la néphronophtise, une maladie rénale rare. MEDETIA est focalisée sur les promesses de la molécule à fort potentiel « MDT-110 », la start-up a noué un partenariat avec l’institut de recherche Imagine, à la pointe des maladies génétiques, qui rassemble l’APHP et l’Inserm tout en étant rattaché à l’hôpital Necker. « Nous voulons en découdre avec les maladies rares mais nous avançons en terrain inconnu », clame Jean-Philippe ANNEREAU. La start-up, qui s’appuie sur un laboratoire dernier cri, vise un essai clinique au cours du premier semestre 2023.

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Malo HUARD – MILVUE « Aide au diagnostic radio d’urgences »

Malo Huard est diplômé de la Faculté des Sciences avec un master en mathématiques & probabilités puis un doctorat en statistiques séquentielles. Avec les co-fondateurs de MILVUE, sa réflexion démarre avec l’interminable attente aux urgences après un petit accident nécessitant une radio. Il envisage une solution pour palier le radiologue saturé et aider l’urgentiste en lui permettant d’affiner son diagnostic et de limiter les erreurs. MILVUE propose un logiciel d’aide au diagnostic radio aux urgences, qui permet de faire gagner du temps aux patients et aux professionnels de santé et de désengorger les urgences. En deux minutes, il est possible de conforter un diagnostic et donner un verdict sur la radio : douteuse ou normale. Quand l’image est normale, le patient peut rentrer aussitôt chez lui avec la prise en charge adéquate, tandis que les clichés douteux sont présentés au radiologue de garde qui bénéficie ainsi d’un pré-diagnostic qui l’avance dans son diagnostic final.

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Raphaël RODRIGUEZ – SideROS « Croise fer contre le cancer »

Raphaël RODRIGUEZ a obtenu une habilitation à diriger des recherches en chimie organique au sein de l’Université Paris-Saclay et de la Faculté des sciences. SideROS développe de nouvelles stratégies anticancéreuses qui ciblent le fer contenu dans les cellules souches cancéreuses résistantes aux traitements conventionnels et responsables des récidives et métastases. Chercheur à l’institut Curie, et directeur de recherche au CNRS, Raphaël Rodriguez a découvert que les cellules cancéreuses à l’origine des récidives étaient particulièrement gourmandes en fer. Il a identifié une molécule, l’ironomycine, qui, en empêchant ces cellules malignes de s’alimenter en fer, provoque leur destruction. En ne ciblant que les cellules malades, ce traitement pourrait à la fois être mieux toléré par les malades et éviter les rechutes.

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Pierre TAPIE – VIRTUALISURG « La simulation 3.0 d’opérations chirurgicales »

Pierre Tapie a obtenu un doctorat en science naturelle à la Faculté des sciences de l’Université Paris-Saclay. Avec VIRTUALISURG, il lance la simulation 3.0 d’opérations chirurgicales avec des modules de formation immersive favorisant l’acquisition et le renforcement du savoir et du savoir-faire (capacité et aptitudes pratiques), pour la formation des équipes de chirurgie, en complément des procédés actuels de formation comme le compagnonnage et l’apprentissage sur les modèles anatomiques ou animaux. Par la répétition des actes, des gestes et la possibilité d’introduire des scénarii critiques dans la simulation de la chirurgie, VIRTUALISURG propose un « immersive learning » qui permet de mémoriser les séquences opératoires, de maîtriser les points clés de chaque opération et d’appréhender les risques inhérents à chaque acte chirurgical.  

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Marie-Anne GRANGERET et Maxime PROJETTI – MOTEN TECHNOLOGIES « Prévention santé par la mesure de l’effort »

Marie-Anne GRANGERET diplômée de la Faculté des sciences et du sport avec un master en ergonomie, ingénierie de la santé et des facteurs humains et Maxime PROJETTI diplômé de Centrale Supélec sont les deux co-fondateurs de MOTEN TECHNOLOGIES. La start-up déploie une technologie innovante pour mesurer les efforts mobilisés pendant une activité habituelle. Repérer les tensions dans les bras lorsqu’un ouvrier défonce un mur de béton au marteau-piqueur ; surveiller le comportement de la colonne vertébrale lors d’un déchargement de camion ; diagnostiquer les performances d’un exo-squelette sur une ligne de production, Moten Technologies utilise pour de telles analyses un capteur tout terrain, chargé d’écouter les muscles en plein travail. Dans les usines mais aussi sur les chantiers, quel que soit le temps, il permet de récupérer des données objectives et de documenter les mesures à prendre afin de préserver la santé des salariés.

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Antigoni ALEXANDROU, Cédric BOUZIGUES, Thibault MERCEY – LUMEDIX « Le nouveau diagnostic du test in-vitro »

Antigoni ALEXANDROU, a obtenu une HDR (Habilitation à Diriger les Recherches) en physique à la Faculté des Sciences, Cédric BOUZIGUES, est diplômé de l’ENS Paris-Saclay, et Thibault MERCEY est diplômé en physique & optique au sein de l’IOGS. Ensemble, ils ont co-fondé LUMEDIX qui a pour ambition de développer des tests rapides (résultats en quelques minutes) avec les mêmes qualités et performances que les tests de routine en laboratoire, pour permettre à tout patient, partout dans le monde, un accès à des solutions de diagnostic performantes et efficaces. LUMEDIX exploite une technologie propriétaire basée sur des nanoparticules luminescentes cristallines à base de terres rares (Europium en particulier), celles-ci apportent un gain de x10 à x500 sur les concentrations minimales détectables de molécules biologiques d’intérêt médical (biomarqueurs, virus, bactéries) pour des tests de diagnostic in vitro, tout en permettant également la quantification de ces molécules et la possibilité d’analyser plusieurs dizaines de molécules en même temps, dans tout type d’échantillon biologique (sang, salive, urine). Une technologie de rupture bon marché et aussi simple d’utilisation qu’un test de grossesse, qui a toutes les caractéristiques pour devenir un nouveau standard du diagnostic in vitro en complément des laboratoires d’analyses.

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Emmanuelle MARTIANO ROLLAND et Maximilien LEVESQUE – AQEMIA « Recherche du médicament par algorithme »

Emmanuelle MARTIANO ROLLAND, diplômée Centrale Supelec et Maximilien LEVESQUE diplômé ENS Paris-Saclay ont co-fondé AQEMIA une start-up spécialisée dans la recherche de médicaments par ordinateur. Concrètement, créer un médicament consiste à chercher la molécule qui va interagir avec une protéine cible jouant un rôle important dans une maladie, afin d’agir efficacement sur la maladie. Cela revient à chercher la clé qui irait verrouiller une serrure. AQEMIA utilise une technologie combinant une intelligence artificielle générative pour inventer des clés et des algorithmes uniques inspirés de la mécanique quantique, qui prédisent si la clé sera efficace sur la cible 10.000 fois plus rapidement que le marché. Pour rappel, aujourd’hui trouver un médicament prend jusqu’à 12 ans et 2,5 milliards d’euros, avec un taux de succès de l’ordre du pourcent.

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Jeanne VOLATRON et Nicolas ROUSSEAU – EVERZOM « Au service de la médecine régénérative »

Jeanne VOLATRON, diplômée ENS Paris-Saclay et Nicolas ROUSSEAU, diplômé Centrale Supélec ont co-fondé EVERZOM, start-up biopharmaceutique spécialisée dans la bioproduction au service de la médecine régénérative. Les deux diplômés ont développé un outil biologique nouveau en travaillant sur les vésicules extracellulaires (VEs), ou exosomes, qui sont aujourd’hui utilisées par de nombreuses équipes pour régénérer des tissus endommagés dans le cadre de la médecine régénérative.

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